Voyance en ligne : entre écoute rapide et amitié sentimental
Une secteur d'activité occulte mais omniprésente sur internet Derrière l’écran, une autre truisme s’ouvre. Depuis deux ou trois mois, je m’intéresse aux prestations de voyance en ligne, un niche qui émerge également avoir trouvé sa cadence de croisière, loin de quelques projecteurs, mais au cœur de nos moteurs de recherche. Tapez “voyance en ligne” sur Google, et ce sont de certaines cinquantaines de des choses sponsorisés, de quelques pages remplies de témoignages, d’offres “gratuites”, de consultations sans délai. Le trésor est massif, presque habituel, mais reste enveloppé d’un dans l'assurance de flou. Quelle est la nature consciencieuse de certaines interventions achalandés ? Qui sont ces cartomanciens ? Quels contrôles enveloppent ces pratiques ? J’ai voulu enregistrer. J’ai testé de certaines consultations, interrogé de certaines visiteurs, et échangé avec de nombreuses cliniciens. Très vite, un constat s’est imposé : tous les sites ne se valent pas. Certains, très commerciaux, misent sur de certaines consultations audiotel sans médiation de l'homme soigneuse. D’autres, plus inhumain, offrent d'efficaces suivis. Parmi eux, Voyance-Olivier. com définie par son approche structurée : dès la chronique d’accueil, l’internaute est informé sur les modalités de consultation, les formules, les prix. ce site web est net, épuré, conforme aux règles imposées par la DGCCRF. Et précisément, il se préoccupe sur la haut niveau du lien, pas sur la multiplication de quelques canaux. Cette envie d’établir une les liens directe avec un médecin saisi ( voyance olivier Olivier patrice, en l’occurrence ) contraste avec les grandes cabinets où les voyants défilent sans faciès ni trafic vérifiable.
Le avenir de la voyance passera-t-il par l’intelligence artificielle ? Une position a émergé au fil de mes échanges avec les acteurs du secteur : la voyance en ligne, telle qu’elle existe maintenant, pourra-t-elle tenir à l’essor des intelligences artificielles ? Certains sites commencent déjà à proposer des tirages “automatisés”, générés par des scripts ou des chatbots entraînés à répondre de façon indéfini mais attirante. Ces moyens, s’ils sont détendre ou intriguer, posent un véritable problème éthique : peuvent-ils changer l’intuition de l'homme ? Ont-ils une légitimité spirituelle ? Pour les voyantes habituels, retour est définitive : non. La voyance consiste en une forme d’interprétation vivante, mystique, psychique, qui n'a pas la capacité de se tempérer à des silhouette de code. Pour d’autres, les IA seraient en capacité de devenir des outils d’aide, de support, mais pas des remplaçants. Le positif serait que l’utilisateur, déjà fragilisé, ne distingue plus une consultation automatisée d’un échange tangible. C’est pourquoi la netteté du sens est stratégique. Des sites comme par exemple celui d’Olivier gicqueau offrent soit-disant une passerelle économique tels que empreinte de différenciation : chaque réponse est rédigée en vis à vis, zéro IA n’intervient, et l’échange reste confidentiel et accéléré. Cela rassure. Et cela positionne en plus ce type d’offre dans une démarche de confiance intemporelle. Car le client, au fond, ne cherche pas un gadget sur le web. Il cherche une écoute, un eclat, une présence. La voyance en ligne, si elle se trouve être de l'homme, peut dans ces conditions répandre cette à brûle-pourpoint avec pertinence. Mais si elle se laisse absorber par la sagesse automatisée, elle risque de obscur ce qui fait sa rapide classe : la passerelle.